Kanélé revient après une longue pause pour explorer de nouvelles voies du flamenco qui ont forgé
son identité multiple.
Dans ce nouveau spectacle, le cri nu du plus vieux palo gitan (martinete) croise une rumba moderne et la alegria côtoie un bolero aux accents cubains. Un hommage à la Méditerranée, un flamenco sous forme de road movies sentimental dans une ambiance «tarantinienne», des textes ciselés, tantôt décalés, tantôt ancrés dans la poésie toute flamenca. Kanélé s’est inventé une terre, Andalunya, « entre el torro y el burró », deux cultures qui au final donnent un goût d’authentique, de vrai.